Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Elucubrations heureuses

7 juin 2006

Veille du début de BAC:

Les larmes dégoulinent sur mes joues...

Manque de confiance, manque de lui... Les hormones c'est con.

Publicité
Publicité
27 mai 2006

L'amour est un jeu:

  Et bien un des plus amusants...
Si on considère qu'il a de multiples possibilités de règles, de joueurs et enfin de situations, on peut vraiment s'amuser.

Mais il y a de très mauvais joueurs, c'est à dire ceux avec qui la montre est plus interressante que l'action en elle-même. Mais dans ces situations, là encore on peut éprouver du plaisir et ainsi qu'un certain intêt: la simulation.

Pour bien simuler, il faut passer par plusieurs stades:

- Tout d'abord on se doit de se vider l'esprit: si on pense à ce que l'on fait au moment même, et qu'il y a rien à en tirer de positif, mieux vaut penser tout d'abord à autre chose, ou plutôt à quelqun d'autre. Pensez à des personnes que vous avez vu récemment, qui vous plaisent beaucoup physiquement, et même si vous savez que vous ètes dans l'incapacité d'être dans de telles situations avec cette personne en question. C'est d'autant plus agréable puisque, comme le disait Rousseau (qui est mort, c'est triste), le bonheur inépuisable passe par l'imagination, donc dans ces moments ennuyeux, pensez au bonheur, en plus, les sensations physiques (je parle ici du sens tactile) pourront s'allier au plaisir mental. (On pourrait appeller aussi la simulation: masturbation à deux)

- Ensuite, on  doit de fermer les yeux. C'est nécessaire pour tout d'abord pour le compagnon (même si vous avez pas très envie de l'accompagner), puisqu'il vous voit la plus part du temps, et qu'il risque de se "désenchanter" si lui même n'utilise pas le même simulacre que vous. De plus, tout le monde c'est qu'il est plus facile de se consentrer, et donc d'imaginer lorsqu'on a les yeux fermés.

- Enfin, normalement il se peut que vous ressentiez du plaisir, cependant, il ne faut jamais négliger le cas desespéré: dans ce cas là, si vous le souhaitez, vous pouvez vous retirer de la partie, ou encore, si cela vous tiens à coeur (par exemple dans le cas d'un ancien amant que vous n'aimez plus, ou le futur ex copain...) je vous propose la pire chose que nous sommes capable de faire les filles, c'est à dire de simuler des gémissements. Je sais, lorsque c'est naturel, ça nous parait très excitant, mais totalement débile lors de simulations. Mais pensez alors que ce n'est peut être pas la dernière fois, qu'il se peut que dans une autre situation, cette même personne vous paraitra sexy et très séduisante, mais que si vous lui laissez un mauvais souvenir... c'est mort à jamais.

En tous cas, nous sommes toutes un jour face à une mauvaise situation comme celle ci... Je remercie en tout cas mon ex de m'avoir; pendant 11 mois, donné matière à réflexion sur la simulation et le manque de plaisir au lit...

Sachez vous, toutes Filles, il n'y a jamais de frigides, seulement des sales coups!

25 mai 2006

Heureuse...

Malgré un bac imminent,

comme j'aime profiter des petits moments où je ne fais rien.sluce11

Au fait, vous ne m'avez pas encore vu...

Me voici.

C'est magique tous ce dont on peut faire avec un petit logiciel de retouche photo... Toute suite on a l'aire beaucoup mieu en photo, et toute suite un peu plus intrigant...

Bon là, c'est vrai, j'ai surtout un sourire de conne, qui d'ailleurs est refusé pour le passeport: il faut surtout pas sourire, pff... du n'importe quoi. Déjà, rien que le mot "passport", c'est périmé, on passe plus forcement par les ports pour sortir d'un pays, et moi quand je voyage, je souris! Bon, c'est peut être pour les retours de vacances remarques...

25 mai 2006

La première chose que je n'aime pas...

L'obsession physique.

Toujours en train de se comparer, de se descendre ou au contraire se valoriser.

Une femme est incapable de se regarder dans une glasse et d'être contente de ce qu'elle est. Chaque défault est un drame, chaque qualité la rend unique et belle, chaque changement est valorisé ou critiqué.

24 mai 2006

Je ne hais pas forcément les femmes...


Non, ce n'est pas que je les aimes pas, je les méprise pour certaines choses, certains défaults, qu'il se peut que j'ai... mais qui ne m'empèchent que je les méprise.

Il faut pas non plus croire que je trouve les hommes mieux, mais simplement cela fait plus de temps qu'ils sont acceptés comme des êtres qui méritent le respect, que l'on est indulgent... on va dire que je n'aime pas les femmes à cause de la conscience collective...

Publicité
Publicité
24 mai 2006

Anarchie

utopia     À la base, je suis emplement (c'est à dire de façon très grosse) contre tous ce qui est "mouvement-politique-attirant-tout-ados-en-soif-de-liberté", mais je crois que c'est mon amour pour Ferrer qui a fait que le "Ni Dieu, Ni maitre" (ni rien) a su me convaincre.

Naturellement, de manière uthopique, j'imagine la possibilité d'un état anarchique. Un état où les gens serraient avertis en respectés entre eux, éduqués et critiques. Un monde où comme aucune personne n'a de pouvoir plus qu'une autre, aucun excés, aucun machiavelisme n'est possible. Où tout individu aurait connaissance, et respect de l'autre.

Un Rêve, il est vrai. Il faudrait tellement de critères, de sélections et de restriction pour former un tel état, que toute l'idée d'anarchie aurait perdue de sa valeure.

Alors, enfait, j'ai un regret, c'est de ne pas être en pleine révolution, au sens changement,  (même si la révolution Française rentre dans mes critères). J'aimerai me battre pour survivre et pour mes idées seules. Eviter les mouvements de foules, et ne se soucier que de soi-même. Penser à soi, sa survie, sa vie, c'est tout. Avoir comme idéal simplement quelques idées emprunter dans une histoire chevaleresque comme ne pas souffrir un homme qui va mourir et ne pas tuer par plaisir.

L'idée d'anarchie, ici, n'a pas tout le sens noble qu'elle peut avoir. Mais le sens vrai: aucune restriction à par la tienne propre. Aucune limite à part la tienne. tu es là, face à toi, face aux autres, sans aucune protection, aucun droit à par la force ou la confiance...

Bon seul problème dans cette histoire de révolution, comme d'habitude, je ne suis pas un Homme.

24 mai 2006

Putain de moi....

Je ne fais jamais rien, sans jamais rechercher quelque chose derrière. Rien n'est pour moi gratuit, tout acte en attend une autre.

Si j'offre à quelqun quoi que ce soit, les personnes voient ça comme de l'altruisme et de la générosité prononcés... Malheureusement non, j'évite de me sentir coupable, et d'exhiber ce que j'ai.

Si je me donne à un homme, comme je me suis jamais donnée, ce n'est point pour plus lui faire plaisir, c'est surtout pour en tirer quelquonc bonne image... Ou encore mieux être encore plus désirée.

Si je souris dans la rue j'attend le retour de celui ci.

Si j'évite les emmerdes, si je suis gentille, douce et tolérente, c'est pour avoir en retour ce que je sème.

Je suis une pute, je fais payer d'abord mon corps, parce que c'est la première chose que les gens autour de moi reçoit. C'est à dire un sourire, un regard. Je ne suis habitée par la honte ou le malaise. On m'a jamais demandé d'être polie simplement pour être aimable, mais tout d'abord pour éviter le jugement négatif pour mes géniteurs.

Non, rien n'est gratuit. Et la vie est si simple avec un sourire, un merci de l'aimabilité... essayez, vous, gens associable, la vie s'en trouve transformée et bien plus aisée.

24 mai 2006

Entrée en la matière:

Je suis pleinement heureuse, je suis de plus en plus heureuse, je veux vieillir. Mais là, simplement je suis d'autant plus heureuse, que je vais me jetter dans mon lit, je crois que mon insomnie s'enfuit.

Je suis heureuse.

24 mai 2006

Je suis pas poète, ni écrivain, ni rien.

Alors pourquoi m'attarder sur un blog où il faut normalement passer par l'écriture?

Parce que je veux partager des sensations, des sentiments, des faits, des petits détails. C'est sur la forme est exécrable, juste à voir mon orthographe, on le comprend. Mais cependant, j'ai une envie de travailler sur le fond de mes idées, ou du moins de ne pas les perdre, et de ne pas les perdre. Travail sur la Mémoir, à travers le bonheur.

24 mai 2006

Eloge à l'être aimé. (ou, Pourquoi aime-le je?)

Il n'est pas comme on l'entendrait objectivement beau.

Ses yeux sont ni verts, ni son regard ténébreux.

Il est pas grand et musclé, mais plutôt échassé (monté sur les échasses quoi ^^) et tout maigrelet.

Il n'est pas sportif et n'en branle pas une.

Il est trop arrogant, et intransgisant.

Mais son sourire, porté par ses petites lèvres joliement dessinées m'est quasiment uniquement destiné. C'est lui la toute première fois qui m'a fait craqué. Sur ce visage qui semble pourtant si dur, si sec, il est là, rien que pour moi.

Ses yeux sont d'une couleur simple et ne feraint couler aucune encre pour leur particularité, si ils n'accompagnaient sont magnifique sourire comme des soleils. Ils m'iluminent, et là, à ce moment la couleur ne vaut plus rien le message est plus fort. Puis cette malice qui les traverse, juste pour comprendre pour faire comprendre qu'il n'est plus tout à fait sérieux...

Son corps, ne rentre dans aucun critère de beauté commun: c'est de la peau, des petits muscles, des os. Mais là, ainsi, apparait tout l'harmonie d'un corps longiligne sans surplus, juste idéal de perfection humaine écologique: une finesse régulière sans excès.

Il se sert de ses longs bras pour m'enlacer encore plus que n'importe qui... Au bout de ceux ci, il y a ses longues mains qui me tiennent, ses doigts qui se glissent dans mes cheveux, tiennent ma nuque et me supportent tous simplement.

Son nez est fin pour un homme, long, mais fin. Il a aucun odorat, causé par une malformation, cependant il équilibre tout son visage, aussi fin, ce qui lui donne un air d'elfe sorti d'une oeuvre fantastique noire. Ses cheveux sont longs d'ailleurs, j'aime les cheveux longs, je peux moi même glisser ma main dedans, je détesterai de ne pas pouvoir le faire chez un homme...

Ses idées sont plutôt arretée, mais elles le sont d'autant plus intransigeante lorsqu'il s'git de personnes orgueilleuses. Et cela lui permet de ne pas être déstabilisé. Elles ne sont point irréfléchies, au contraire, je crois à une merveilleuse et douloureuse mise en place de celle ci..

Il est intelligent, cultivé, interressé. Il aime le cinéma, ce qui est ma passion, il aime l'art ce qui est la sienne.

Il n'est pas le prince charmant, non, loin de là. Mais il m'apporte bien plus et pas ce que je n'attend pas. Il m'accepte étrange que je suis.  Il est pas parfait, non pas l'homme idéal, mais quand il est là, tous les autres hommes ne servent plus que de comparaison pour mettre en valeur sa personne. Il n'est pas vrai homme, il est une espèce d'humanoide rare, dans lequel on retrouve un peu des éléments qui pour moi ferait l'homme parfait. Il n'est pas parfait, mais comme je le troquerais pour aucun autre...

Mais ce que personne ne pourra entendre dans ce que je vais dire là... Je vais tout de même tenter de l'expliquer, c'est que ce qui m'envoute certainement, c'est son parfum. Lorsque je m'approche de lui, je le repert à au moins un mètre, pourtant je suis la seule. Il a une odeur naturelle et enivrante: lorsque je l'humme c'est comme si tous les sentiments que j'avais pour lui remontés de mes reins jusqu'à ma gorge. Comme une envie sexuelle mais qui ne se contente pas du bas ventre, qui remontré jusqu'au coeur. Là je sais que je l'aime.

Et juste parce qu'il y a une première fois, une mauvaise première fois, je me permet de citer Brel:               " Ces amants là, qui ont vu par deux fois leurs coeurs s'embrasés"

Publicité
Publicité
1 2 > >>
Elucubrations heureuses
Publicité
Publicité